Mieux connaître ce que l'on fait

 Dans ce site sur le Kyudo, nous aborderons grâce à des informations, la façon d'approcher le Japon pour l'occidental. Car, en effet, le drame pour le débutant sincère ou la personne désirant en savoir plus sur cette discipline, est qu'ils n'ont aucun moyen de comparaison devant le flot de publicité et malheureusement d'idées souvent fantaisistes concernant le Japon.
En France et plus généralement en Occident, les disciplines du Budo japonais et autres arts, allant de l'art du thé à l'étude de la flûte japonaise en bambou, shakuhachi, ont pris une place importante dans les différentes classes de notre société.

Cependant, les manières et les habitudes des Japonais sont tout à fait contraires aux nôtres. Quand on veut échapper au fatras d'idées, plus ou moins reçues que l'on attribue à l'Orient et qui ne recouvrent aucune réalité, ni présente, ni passée, la tâche n'est assurément pas facile.

 
 Jacques NORMAND, après 40 ans de Budo, dont cinq années passées au Japon de 1969 à 1974, à étudier les disciplines du Budo, est devenu spécialiste et haut gradé de Naginata, Aïkido, Karaté, Iaï, Jiujitsu et Kyudo; marié à une Japonaise et parlant couramment la langue , il s'efforce depuis de nombreuses années de faire comprendre et réunir, non sans difficulté, ces deux modes de pensée aux antipodes l'un de l'autre. De retour en France, il travaille plus de 22 ans pour des entreprises japonaises à Paris, à la fois en tant que directeur de gestion et général manager, ce qui lui permet de compléter sa connaissance du Japon et mieux connaître encore les habitudes de ceux qui sont devenus ses amis et aussi sa famille.